Jean-Philippe partage chaque semaine des textes sur la non-dualité sur notre page Facebook
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En voici deux exemples:
LE SILENCE A TOUJOURS ÉTÉ LA
Le silence est là, au plus profond de nous-même.
Il a toujours été là et il sera toujours là.
L’agitation mentale peut sembler le recouvrir et apparemment nous en faire perdre l’accès, mais en fait, toutes les pensées, tous les bruits, demeurent en lui.
Il n’est pas le petit silence de l’arrêt du mental. Il est le grand silence de notre nature réelle.
Il n’est pas un espace inerte. Il est intensément vivant, riche et rayonnant.
Nous n’avons rien à faire pour l’entretenir ou le conserver. Il se suffit à lui-même, complète plénitude et permanente félicité.
LE TÉMOIGNAGE DE LA BEAUTÉ
Au procès de la souffrance
la beauté est venue à comparaître,
en tant que le témoin de la Grâce.
Elle a dit.
J’étais là déjà au premier temps de l’univers,
dans la vibration originelle.
En fait, nous ne nous sommes jamais quittées.
Qui me voit, revient à l’origine,
à la source de toutes choses.
J’habite le cœur de la forme
et l’essence du mouvement.
La souffrance ne peut me nier.
Quoi qu’elle fasse, je me trouve toujours derrière elle.
Au tréfonds de l’oubli,
dans la brisure de la solitude,
je demeure encore
et peut être reconnue.
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LE SILENCE A TOUJOURS ÉTÉ LA
Le silence est là, au plus profond de nous-même.
Il a toujours été là et il sera toujours là.
L’agitation mentale peut sembler le recouvrir et apparemment nous en faire perdre l’accès, mais en fait, toutes les pensées, tous les bruits, demeurent en lui.
Il n’est pas le petit silence de l’arrêt du mental. Il est le grand silence de notre nature réelle.
Il n’est pas un espace inerte. Il est intensément vivant, riche et rayonnant.
Nous n’avons rien à faire pour l’entretenir ou le conserver. Il se suffit à lui-même, complète plénitude et permanente félicité.
LE TÉMOIGNAGE DE LA BEAUTÉ
Au procès de la souffrance
la beauté est venue à comparaître,
en tant que le témoin de la Grâce.
Elle a dit.
J’étais là déjà au premier temps de l’univers,
dans la vibration originelle.
En fait, nous ne nous sommes jamais quittées.
Qui me voit, revient à l’origine,
à la source de toutes choses.
J’habite le cœur de la forme
et l’essence du mouvement.
La souffrance ne peut me nier.
Quoi qu’elle fasse, je me trouve toujours derrière elle.
Au tréfonds de l’oubli,
dans la brisure de la solitude,
je demeure encore
et peut être reconnue.
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Quelques derniers textes :
Éveil à la Liberté
Par le frémissement des jours
Par la lucidité des nuits
Au-delà de tous les temps
Je vis mon essence
Par chaque instant révélé
Par le silence sous les sons
Au-delà des regards égarés
Je vis mon essence
Par la connaissance et l’oubli
Par l’abandon des traces anciennes
Au-delà des noms appris
Je vis mon essence
Par les leçons de la douleur
Par le détachement des sens
Au-delà de l’ancrage au corps
Je vis mon essence
Par le sentier du cœur
Par l’arrêt de la recherche
Au-delà des jeux du monde
Je vis mon essence
Et par le pouvoir d’un non
Je dissipe l’illusion
Je ne suis jamais né
Je reconnais mon essence
Liberté
novembre 2022
DE LA PERSONNE A L’ÊTRE... ET FINALEMENT N’ÊTRE PERSONNE
La personne est un état conditionné et contracté de l’Être. Un oubli de Soi.
Elle est identifiée au mental.
Elle est prise par des croyances de séparation avec les autres et le monde.
Ces croyances l’on amenée à créer des identités. Elle se définit à travers ces rôles et veut être reconnue.
Une sensation de manque est inhérente à la séparation, qu’elle compense inconsciemment par des désirs. Elle vit des moments d’apaisement, mais est toujours reprise par la souffrance.
La personne est souvent mue par la peur et cherche à atteindre une sécurité.
Elle a construit une prison illusoire, de laquelle elle cherche à sortir.
Elle crée des problèmes à résoudre, des buts à atteindre et des missions à déployer.
Elle aime raconter des histoires qui maintiendraient son existence à part entière.
Elle est attachée au passé et dans la crainte d’un avenir imaginé.
La personne croit à la notion de choix et de libre arbitre.
Elle veut avoir raison, savoir, contrôler.
Elle veut toujours s’améliorer, être plus ou moins quelque chose, prise dans le piège du développement personnel.
Tout cela demande un effort considérable qui amènera inéluctablement la personne à son épuisement.
L’Être est appelé aussi Présence, Conscience, …
Il est par essence indéfinissable, car illimité et intemporel. Il est notre origine, jamais touchée par les conditionnements, l’ego et le mental.
L’Être est Libre et connait la Vérité !
Spontanément et sans effort, il accueille toutes manifestations sans s’y lier.
Il est immergé dans le Silence de sa propre nature, dont un rayonnement émerge.
Il existe ici et maintenant, et à chaque instant. Il est au-delà du temps et n’a pas peur de la mort.
Il est en paix et heureux quelles que soient les conditions autour de lui.
Il se ressent non-séparé et vit avec une totale confiance.
Il déploie naturellement l’action juste, depuis le non-savoir, le non-attachement, car Il reconnait qu’il est la vie.
Le mental est son serviteur.
Paix, sérénité, joie et amour sont quelques-uns de ses parfums, mais il se laisse aussi traverser par la tristesse, la colère… Il sait que tout apparaît en lui, que rien ne lui appartient et que tout est lui.
août 2021
TU ES MAINTENANT!
Vérifie l'évidence d'Être !
Ne cherche rien.
Ne maintiens rien.
Oublie tout ce que tu as pu lire à propos de toi-même.
Oublie toute ton histoire.
Tu demeures car tu as toujours été là.
C'est simple et naturel.
Rien ne peut te définir, tout apparaît en toi.
Ose tout laisser, aller et réalise que le Soi ne peut disparaître.
Tu es éternel !
novembre 2020
L'OISEAU, LA CAGE ET LE CIEL
L’oiseau tourne en rond dans sa cage depuis si longtemps qu’il en a oublié l’origine.
De tour en tour, il reproduit sans fin le cercle de sa servitude.
Et les graines de désir, qui forment sa pitance, ne l’apaisent jamais.
A travers les barreaux, le vaste espace l’appelle.
Mais il ne sait comment les franchir.
Pourtant, à un endroit les barreaux sont ouverts.
L’a-t-il vu ? Il n’en est pas sûr. Il doute et n’ose-y croire.
Il poursuit sa course dans sa prison.
Pourtant, les barreaux sont illusoires.
Le ressent-il ? Bien sûr, il en a l’intuition, mais il ne lui donne pas sa confiance.
Il reprend son errance, enfermé dans sa peur.
Pourtant, l’oiseau lui-même, est imaginaire.
Le sait-il ? Évidemment, son cœur se reconnaît dans l’espace.
De toujours, l’oiseau, la cage et le ciel, n’ont formé qu’Un seul…
novembre 2020
LA RIVIÈRE JAILLIT DE LA SOURCE ET NE LA QUITTE PAS.
Elle se nomme rivière, mais coule en l'Océan.
Une eau dans de l'eau qui se croit singulière.
Merveille ! Tout n'est qu'eau. L'Océan est sans parts.
IL N'EST QU'UN SOUS DES MILLIARDS DE FORMES.
Un qui se divise et se multiplie, et demeure Un.
Un qui joue en Lui-même avec Lui-même.
Qui serait autre pour la Conscience ?
septembre 2020
LE MIROIR DU MONDE
Quand les désirs sont reconnus pour ce qu’ils sont
Les objets du désir disparaissent pour laisser la place
Au seul divin.
Sa flèche frappe l’archer au cœur !
La volonté se consume en ce brasier.
Le mouvement se dissout dans sa spirale
Puis renaît en tant que bénédiction
Pour le monde
avril 2020
LA LILA OU LE JEU DIVIN
Le grand jeu de l’oubli de la nature divine de l’être et de l’univers
La partie se déroule avec un seul joueur, qui est aussi le meneur de jeu et le terrain de jeu.
La conscience sans formes endosse le rôle d’un être humain. Au cours de la partie elle a vécu bien d’autres rôles, le jeu ne s’arrêtant que quand le but est atteint.
Le défi pour le joueur est de reconnaître sa nature divine au travers du miroir de la manifestation. Pour corser la partie, des pouvoirs d’oubli et d’attraction imprègnent cette dernière.
Le jeu est délimité par le cade illusoire de l’espace et du temps.
Tous les coups sont permis et tous les coups sont suggérés, tous les coups devant être joués.
Par la reliance, la communion, la phase, l’unité de l’être et du monde peut être approchée, puis intégrée.
Quand le joueur touche au but, la partie s’arrête pour lui et il réalise sa nature de meneur de jeu. Jusqu’à la mort du rôle le jeu se poursuit en apparence.
mars 2020
Par le frémissement des jours
Par la lucidité des nuits
Au-delà de tous les temps
Je vis mon essence
Par chaque instant révélé
Par le silence sous les sons
Au-delà des regards égarés
Je vis mon essence
Par la connaissance et l’oubli
Par l’abandon des traces anciennes
Au-delà des noms appris
Je vis mon essence
Par les leçons de la douleur
Par le détachement des sens
Au-delà de l’ancrage au corps
Je vis mon essence
Par le sentier du cœur
Par l’arrêt de la recherche
Au-delà des jeux du monde
Je vis mon essence
Et par le pouvoir d’un non
Je dissipe l’illusion
Je ne suis jamais né
Je reconnais mon essence
Liberté
novembre 2022
DE LA PERSONNE A L’ÊTRE... ET FINALEMENT N’ÊTRE PERSONNE
La personne est un état conditionné et contracté de l’Être. Un oubli de Soi.
Elle est identifiée au mental.
Elle est prise par des croyances de séparation avec les autres et le monde.
Ces croyances l’on amenée à créer des identités. Elle se définit à travers ces rôles et veut être reconnue.
Une sensation de manque est inhérente à la séparation, qu’elle compense inconsciemment par des désirs. Elle vit des moments d’apaisement, mais est toujours reprise par la souffrance.
La personne est souvent mue par la peur et cherche à atteindre une sécurité.
Elle a construit une prison illusoire, de laquelle elle cherche à sortir.
Elle crée des problèmes à résoudre, des buts à atteindre et des missions à déployer.
Elle aime raconter des histoires qui maintiendraient son existence à part entière.
Elle est attachée au passé et dans la crainte d’un avenir imaginé.
La personne croit à la notion de choix et de libre arbitre.
Elle veut avoir raison, savoir, contrôler.
Elle veut toujours s’améliorer, être plus ou moins quelque chose, prise dans le piège du développement personnel.
Tout cela demande un effort considérable qui amènera inéluctablement la personne à son épuisement.
L’Être est appelé aussi Présence, Conscience, …
Il est par essence indéfinissable, car illimité et intemporel. Il est notre origine, jamais touchée par les conditionnements, l’ego et le mental.
L’Être est Libre et connait la Vérité !
Spontanément et sans effort, il accueille toutes manifestations sans s’y lier.
Il est immergé dans le Silence de sa propre nature, dont un rayonnement émerge.
Il existe ici et maintenant, et à chaque instant. Il est au-delà du temps et n’a pas peur de la mort.
Il est en paix et heureux quelles que soient les conditions autour de lui.
Il se ressent non-séparé et vit avec une totale confiance.
Il déploie naturellement l’action juste, depuis le non-savoir, le non-attachement, car Il reconnait qu’il est la vie.
Le mental est son serviteur.
Paix, sérénité, joie et amour sont quelques-uns de ses parfums, mais il se laisse aussi traverser par la tristesse, la colère… Il sait que tout apparaît en lui, que rien ne lui appartient et que tout est lui.
août 2021
TU ES MAINTENANT!
Vérifie l'évidence d'Être !
Ne cherche rien.
Ne maintiens rien.
Oublie tout ce que tu as pu lire à propos de toi-même.
Oublie toute ton histoire.
Tu demeures car tu as toujours été là.
C'est simple et naturel.
Rien ne peut te définir, tout apparaît en toi.
Ose tout laisser, aller et réalise que le Soi ne peut disparaître.
Tu es éternel !
novembre 2020
L'OISEAU, LA CAGE ET LE CIEL
L’oiseau tourne en rond dans sa cage depuis si longtemps qu’il en a oublié l’origine.
De tour en tour, il reproduit sans fin le cercle de sa servitude.
Et les graines de désir, qui forment sa pitance, ne l’apaisent jamais.
A travers les barreaux, le vaste espace l’appelle.
Mais il ne sait comment les franchir.
Pourtant, à un endroit les barreaux sont ouverts.
L’a-t-il vu ? Il n’en est pas sûr. Il doute et n’ose-y croire.
Il poursuit sa course dans sa prison.
Pourtant, les barreaux sont illusoires.
Le ressent-il ? Bien sûr, il en a l’intuition, mais il ne lui donne pas sa confiance.
Il reprend son errance, enfermé dans sa peur.
Pourtant, l’oiseau lui-même, est imaginaire.
Le sait-il ? Évidemment, son cœur se reconnaît dans l’espace.
De toujours, l’oiseau, la cage et le ciel, n’ont formé qu’Un seul…
novembre 2020
LA RIVIÈRE JAILLIT DE LA SOURCE ET NE LA QUITTE PAS.
Elle se nomme rivière, mais coule en l'Océan.
Une eau dans de l'eau qui se croit singulière.
Merveille ! Tout n'est qu'eau. L'Océan est sans parts.
IL N'EST QU'UN SOUS DES MILLIARDS DE FORMES.
Un qui se divise et se multiplie, et demeure Un.
Un qui joue en Lui-même avec Lui-même.
Qui serait autre pour la Conscience ?
septembre 2020
LE MIROIR DU MONDE
Quand les désirs sont reconnus pour ce qu’ils sont
Les objets du désir disparaissent pour laisser la place
Au seul divin.
Sa flèche frappe l’archer au cœur !
La volonté se consume en ce brasier.
Le mouvement se dissout dans sa spirale
Puis renaît en tant que bénédiction
Pour le monde
avril 2020
LA LILA OU LE JEU DIVIN
Le grand jeu de l’oubli de la nature divine de l’être et de l’univers
La partie se déroule avec un seul joueur, qui est aussi le meneur de jeu et le terrain de jeu.
La conscience sans formes endosse le rôle d’un être humain. Au cours de la partie elle a vécu bien d’autres rôles, le jeu ne s’arrêtant que quand le but est atteint.
Le défi pour le joueur est de reconnaître sa nature divine au travers du miroir de la manifestation. Pour corser la partie, des pouvoirs d’oubli et d’attraction imprègnent cette dernière.
Le jeu est délimité par le cade illusoire de l’espace et du temps.
Tous les coups sont permis et tous les coups sont suggérés, tous les coups devant être joués.
Par la reliance, la communion, la phase, l’unité de l’être et du monde peut être approchée, puis intégrée.
Quand le joueur touche au but, la partie s’arrête pour lui et il réalise sa nature de meneur de jeu. Jusqu’à la mort du rôle le jeu se poursuit en apparence.
mars 2020
Le chemin
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Sous la menace de la Joie
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Si tu peux…
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Laissons brûler la maison
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Servir
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Je ne suis pas vraiment mon corps
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Plaidoyer pour une vie non-intentionnelle
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Écoute et spiritualité
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La vie mène
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Déclaration alternative des droits de l'homme
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