Témoignage d’une participante à l’école de la Liberté
Que dire de cette expérience avec vous, dans ce groupe ? Mmm... c’est tout simplement le vécu de cette grande bascule... éternelle gratitude pour cela ! Je ne me prends plus pour celle qui cherche à se libérer, qui refuse l’instant de réactivité. Je ne me prends plus pour toutes ces apparitions, pour ce corps, ces émotions... La grande bascule est cette reconnaissance de moi-même en tant que permanence de l’Être. Je ne suis plus celle qui vit des moments de grâce ou qui les cherche. La grâce est là, permanente. Le cadeau de ce cheminement en groupe dans cette conscience est de s’éclairer mutuellement les angles morts. Un mot, un regard, un silence, depuis cette Source, peut déclencher une bascule irréversible. Pour “moi”, en éternelle gratitude, il y a eu ce pointage puissamment libérateur, ce face-à-face avec cette croyance que la réactivité ne devrait plus survenir si le non-état est reconnu. Depuis, je sens constamment cette bénédiction du laisser-être, du laisser-danser... ce corps et tous les corps... Tout peut être là. Cette pureté est inaltérable. Je vis l’évidence, délicieusement joyeuse, que le Soi est la seule réalité. Laisser l’évidence infuser, encore, encore et encore. Juste être Cela, et tout le reste est pris en charge. Tout est béni naturellement. Rien à faire, tout se fait. Rien ne m’appartient. Tout m’appartient. Éternelle gratitude à vous d’offrir cet espace, ce miroir. Un dans le seul Cœur. Liza |
Témoignage d’une participante aux soirées sur internet
Je suis fascinée par ce que ça ouvre en moi, de retoucher cette évidence du naturel. Cela vient adoucir mes questionnements, et me conforte dans la question « qui suis-je ? », que j'ai transformé « en que suis-je ? ». Ou encore cette invitation du « je ne suis pas », qui m'évite bien des identifications. Je ne peux m'empêcher d'être impressionnée de l'énergie que je pressens derrière le travail que nous faisons tous en tant qu'humain, construisant l'histoire du monde, mêmes idéologiques, les campagnes pour ou contre le vaccin, l'euthanasie, un revenu pour tous, la sécu, bref tous ces mouvements qui vont dans le sens de la séparation (sorte de stratégie tragique pour reprendre le vocabulaire CNV), oui, mais je les relie à cette force qui nous pousse vers l'unification. C'est cette force, cette énergie qui m'émeut. Je reconnais aussi ce non-devenir, ce non-faire, ce c'est maintenant, que vos Satsang m'ont permis peu à peu de conforter, de goûter, de gratter, d'y revenir, après avoir oublié tant de fois. Lol ! Je suis touchée par l'évocation d'un mental subtile aidant, comme une dernière étape, quel soulagement quand je ressens qu'il me parle de là ou je suis depuis tant années. Une confiance arrive, confiance que c'est naturel, ça pousse vers là… Sorte de maturation parmi d'autres, qui aboutira, ou pas, vers un ultime non-retour. Annabelle |
Retour d’un homme venu en accompagnement à notre domicile
Un témoignage sur l’assise dans la Présence
dans le challenge de la séparation
La fin de mes vacances d’été s’est traduite par une énorme crise conjugale qui m’a complètement terrassé ! A ce moment-là, je me suis senti tellement dépendant de ma relation à mon épouse qu'il m’est apparu que je devais aller "me rencontrer » pour me libérer. Le meilleur moyen m’a paru de traverser la France pour me rendre chez Muriel et Jean Philippe, dont je commençais à comprendre la "nouvelle approche ».
Pendant ces quatre jours chez eux, j’ai découvert comment me "déposer dans la Présence". Ce temps pas été toujours confortables, mon personnage, avec ses croyances et ses émotions, prenant par moment beaucoup de place. Puis, petit à petit, j’ai laissé l’espace à la Présence… qui m’a permis de regarder avec distance ce personnage encore très tourmenté. Au quatrième jour, je me sentais beaucoup mieux et décidais de rentrer me confronter à la réalité, avec cette nouvelle posture.
Dès mon arrivée à la maison, mon épouse m’a bien challengé en me lançant les reproches que je ne supportais pas auparavant, et qui aboutissaient toujours à d’énormes conflits. Cette fois, j’ai fermé les yeux pour me replonger dans la Présence et j’ai ainsi eu l’impression de mieux comprendre ce qui se passait derrière sa colère. Pour la première fois, je n’ai pas réagi. Je suis resté calme et j’ai pu lui donner une réelle empathie. Au bout de quelques minutes, à ma grande surprise, elle a fini par s’excuser de m’avoir parlé ainsi !
La Présence m’a permis de voir mon épouse dans son personnage, et mon personnage triste et démuni. Mais je savais que cela ne durerait pas, car la vie n’est que mouvement. J’ai pu constater cette vérité : tout change tout le temps !
Aujourd’hui, je me sens profondément transformé. Libéré, délivré ! Je me sens beaucoup moins sensible aux critiques et aux jugements. Je tente de réduire au maximum mes projections sur l’avenir. Quand une peur passe, je l’accueille en tentant de me connecter à l’instant présent… Ce nouveau jeu est assez passionnant !
Un témoignage sur l’assise dans la Présence
dans le challenge de la séparation
La fin de mes vacances d’été s’est traduite par une énorme crise conjugale qui m’a complètement terrassé ! A ce moment-là, je me suis senti tellement dépendant de ma relation à mon épouse qu'il m’est apparu que je devais aller "me rencontrer » pour me libérer. Le meilleur moyen m’a paru de traverser la France pour me rendre chez Muriel et Jean Philippe, dont je commençais à comprendre la "nouvelle approche ».
Pendant ces quatre jours chez eux, j’ai découvert comment me "déposer dans la Présence". Ce temps pas été toujours confortables, mon personnage, avec ses croyances et ses émotions, prenant par moment beaucoup de place. Puis, petit à petit, j’ai laissé l’espace à la Présence… qui m’a permis de regarder avec distance ce personnage encore très tourmenté. Au quatrième jour, je me sentais beaucoup mieux et décidais de rentrer me confronter à la réalité, avec cette nouvelle posture.
Dès mon arrivée à la maison, mon épouse m’a bien challengé en me lançant les reproches que je ne supportais pas auparavant, et qui aboutissaient toujours à d’énormes conflits. Cette fois, j’ai fermé les yeux pour me replonger dans la Présence et j’ai ainsi eu l’impression de mieux comprendre ce qui se passait derrière sa colère. Pour la première fois, je n’ai pas réagi. Je suis resté calme et j’ai pu lui donner une réelle empathie. Au bout de quelques minutes, à ma grande surprise, elle a fini par s’excuser de m’avoir parlé ainsi !
La Présence m’a permis de voir mon épouse dans son personnage, et mon personnage triste et démuni. Mais je savais que cela ne durerait pas, car la vie n’est que mouvement. J’ai pu constater cette vérité : tout change tout le temps !
Aujourd’hui, je me sens profondément transformé. Libéré, délivré ! Je me sens beaucoup moins sensible aux critiques et aux jugements. Je tente de réduire au maximum mes projections sur l’avenir. Quand une peur passe, je l’accueille en tentant de me connecter à l’instant présent… Ce nouveau jeu est assez passionnant !